« … A Paris l’écrivain réactionnaire Camille
Mauclair écrit : “Quant à M. Cézanne son nom restera
attaché à la plus mémorable plaisanterie d’art de
ces quinze dernières années… il n’a jamais pu produire
ce qu’on appelle une œuvre...”
Lui, continue à peindre sur le chemin douloureux
d’une vérité dont il s’approche mais qu’il ne peut
atteindre ; s’il a conscience d’avoir apporté à la peinture quelque chose de différent, c’est dans les doutes et les angoisses. Entrevoit-il l’avenir ? “Je suis, dit-il, le primitif d’un art nouveau” … »