« La proue de la forêt est amarrée.
C'est l'heure de la brûlure, de la lampe.
Là-bas dans la ville qui ruisselle,
Une porte noire s'est refermée.
Derrière le camail funèbre
Une femme vaque dans la décrue du jour.
Je fus bonheur entre ses jambes,
Si je l'appelle, son nom étreint le vide,
La nuit s'ouvre, c'est une robe,
Une porte fermée. »