« Chanter ou déclamer quelque chose de triste lorsqu’on est plein de contentement a la vertu de parfaire notre joie. A une des heures les plus belles de ma jeunesse, quand j’allais m’embarquer pour le Pirée et que le bateau partait demain, quels rythmes murmurés dans le bruit de la foule et des voitures, aux allées de Meilhan, rue de Noailles, à la Cannebière, exprimèrent l’ivresse dont j’étais rempli, sinon :
Je suis le ténébreux, le veuf, l’inconsolé,
Le prince d’Aquitaine à la tour abolie ?... »